La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son gagne-pain dans l’ombre tamisée de son fabrique. Son poste à enjoliver, fidèle chien ou chat de ses prédictions silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses doigts. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, à https://myleswfkoq.activoblog.com/36562462/les-fils-du-sort