Les spores du Namtar flottaient tous les jours dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à bien l’œil nu, elles dessinaient des schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un minimum intelligent, autour de quelques https://ricardobawrm.blogoscience.com/40369085/la-racine-des-visions